Washington, États-Unis (Weltexpress). De hauts responsables du Pentagone ont informé le président Joe Biden le 23 janvier des options qu’il peut prendre pour dissuader toute prétendue invasion de l’Ukraine par la Russie. Selon « The New York Times », citant des responsables de l’administration anonymes, l’une des options consistait à envoyer entre 1 000 et 5 000 soldats en Europe de l’Est. Bien qu’il s’agisse d’un contingent relativement petit, le plan annoncé comprenait une option pour multiplier par dix le nombre – jusqu’à 50 000 militaires américains.
Auparavant, plusieurs pays de l’OTAN avaient annoncé qu’ils mettaient leurs troupes en attente et envoyaient des navires et des avions de combat supplémentaires sur les sites de déploiement de l’alliance en Europe de l’Est. Selon la déclaration du bloc, cette décision a été motivée par le « renforcement militaire » prétendument continu de la Russie en Ukraine et autour de celle-ci.
C’est le contraire. Les États-Unis et leurs vassaux se sont rapprochés de plus en plus des frontières de la Fédération de Russie ces dernières années.
La Russie est entourée de troupes commandées par les États-Unis.
Les fauteurs de guerre aux États-Unis et leurs États vassaux en Europe continuent de s’armer contre la Russie
Le Danemark et l’Espagne enverront des navires de guerre dans la mer Baltique et d’autres forces navales de l’alliance. Les deux pays ainsi que les Pays-Bas enverront également des avions de combat en Lituanie et en Bulgarie. La France, pour sa part, s’est déclarée prête à envoyer des troupes supplémentaires en Roumanie.