Le „Weltrestaurant Markthalle“ juste au milieu de „Kreuzberg 36“ – Parce que le coeur bat dans le „Kiez“!

Le Weltrestaurant Markthalle, Berlin-Kreuzberg. © Münzenberg Medien, photo: Stefan Pribnow

Berlin, l’Allemagne (Weltexpress). Au „Weltrestaurant Markthalle“ rien de neuf. Plus exactement : Au „Weltrestaurant Markthalle“, tout est et reste traditionnel, aussi le rôti de porc. Et c’est bien comme ça ! Pendant plus de 120 ans, l’édifice est vieux et héberge (maintenant à côté des braderies idiots) un marché hebdomadaire multicolore qui propose le vendredi et le samedi de 10 à 18 heures les friandises de toutes sortes qui attire des gens les plus différents.

Alors, le vin rencontre le fromage et fournisseur de sucreries voit ses clients au « commérage de café ». Tout les jeudi soirs est „Street Food Thursday“. Alors se rassemblent „les meilleurs délicatesses de trottoir de Berlin et de tout le monde“ sous ce toit, sous lequel aussi deux légendes sont chez soi .

Le film „Monsieur Lehmann“ et le café « Markthalle »

Un jour, Frank Lehmann qu’appellent tous seulement monsieur Lehmann, visite son meilleur ami Karl dans le café „Markthalle“. I y travaille volontiers. Monsieur Lehmann se montre par cette scène clée du roman « Herr Lehmann » de l’auteur Sven Regener, porté à l’écran par metteur en scène Leander Haussmann, mal disposé, car ses parents veulent le visiter à Berlin. Grincheux de manière accordée, il se fâche contre petits bourgeouis qui tiennent toutes les tables occupé. Par dépit il exige un rôti de porc qui ne convient pas à la nouvelle cuisinière Katrin face au temps d’heure si tôt. Elle renvoie la balle et implique monsieur Lehmann dans une conversation sur les questions philosophiques, sur le sens de la vie et du temps.

Rainier Mennig et le „Weltrestaurant“

Au „Weltrestaurant“ réel, gastronome Rainier Mennig agite le sceptre dans la cuisine et au robinet de bière derrière le comptoir. Le Franconien, qui vit depuis 1978 à Berlin et vole beaucoup par le monde entier, tourne le commutateur dans son café., Il est cuisinier éprouvé, mais il cause avec ses hôtes comme un conférencier. Nous nous sentons vite bienvenus, comme nous faisions partie tous depuis toujours de l’institution de cent ans du „Weltrestaurant“.

Cela n’était qu’en 1993 que le restaurant a ouvert ses portes sous son chef actuel. Katrin, la serveuse, est une Kreuzbergerin originale, apporte la bière pendant que nos regards errent par le restaurant. Il y a ici le charme du vieux monde avec du beau bois sombre, les hautes couvertures et un long bar dans un grand espace offrent une élégance aussi simple que intemporelle. Aux murs blancs on trouve des images impressionants du peintre Boysen, un artiste berlinois.
Que les parents de monsieur Mennig dirigeaient un grand restaurant, la mère cuisinière , le père maître boulanger, est remarquable dans le travail de Rainier – avec qui nous nous tutoyons assez vite–. Ce qu’on a appris une fois, on ne l’oublie plus.

Le rôti de porc, les escalopes de veau panées et le „Strammer Max“

Sur la carte se trouve le fameux rôti de porc avec de la choucroute de vin et boulette de petit pain. La rognure „la manière viennoise“ et la rognure de chasseur, les deux avec des pommes de terre sautées, comptent parmi les spécialités de la maison. Les spaetzle maison sont aussi servies de 12 à 24 heures. Des oeufs brouillés la nature de trois oeufs avec le beurre et toast, facultativement avec le jambon, lard, fromage, oignons et tomates se trouvent sur le programme comme des boudins blancs de la Bavière avec le bretzel, la moutarde sucrée et le beurre. Le classique de Berlin reste des „Strammer Max“ et qui commande cette cuisine maison qui a tenu l’entrée à des restaurants comme le tribunal de bistros dans l’habitant de Berlin et la république viennoise, „il reçoit un pain noir avec le jambon, oeuf sur le plat et concombre“, explique monsieur Mennig, et livre une pièce justificative pour la cuisine native au „Weltrestaurant Markthalle“ dans lequel les verres de bière cliquettent et le credo vit: Ouverture mondiale.

Le „Auster Club“

Qui voudrait encore fêter après le repas, celui-ci est juste d’or dans „Auster Club“, cette perle de la scène de club de Berlin. Dans l’espace de cave confortable, l’ours danse vendredi et samedi à la „musique populaire des années 40 jusqu’aux 60“ qui est interpretée ici d’une nouvelle manière“. Les fumeurs trouvent un petit hall discret dans la cour intérieure pour la pause avec la papotoge dans une atmosphère bien ventilée. Au „Auster Club“, dans lequel des DJ’s et des groupes jouent live cinq, six fois le mois, peut aussi être loué pour des manifestations de la manière la plus différente. Si dans le „Auster Club“ frappe le beat, c’est au „Restaurant Markthalle“ où bat l le coeur, le coeur du coin, alors celui du Kreuzberg 36.. Et c’est bien comme cela!

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