« Randy Andy » sans titre royal, mais pas encore en prison – Une déclaration du palais de Buckingham

Le palais de Buckingham est la résidence officielle du monarque britannique à Londres. Source : Pixabay

Londres, Royaume-Uni (Weltexpress). Lorsque des accusations de pédophilie ont été portées contre le membre de la famille royale surnommé « Randy Andy » (Andy le lubrique) du palais de Buckingham et qu’elles n’ont jamais cessé, la carrière du prince Andrew, également connu sous le nom de duc d’York, a été ruinée. Il aurait désormais renoncé à tous ses titres royaux en raison de son ancienne amitié avec Jeffrey Epstein, un délinquant sexuel condamné et retrouvé pendu en prison, et aurait renoncé à ses droits.

Le prince Andrew, frère d’Anne et de Karl ou Charles, et en tant que roi Charles III, tous deux issus de la maison royale britannique Windsor, qui n’a jamais existé, portent en principe le nom allemand de Saxe-Cobourg et Gotha par leur mère, la reine Elizabeth II, et le nom allemand de Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg par leur père, prince Philip, le nom allemand Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, qui est une branche cadette de la maison d’Oldenbourg, également apparentée à la maison allemande de Battenberg et à la famille noble de Hesse-Darmstadt, a renoncé à ses titres royaux, dont celui de duc d’York, en raison de ses relations amicales avec le financier américain et exploitant d’un réseau pédophile Jeffrey Epstein, décédé en prison après avoir été accusé d’abus sexuels sur mineurs, a renoncé à ses titres royaux, dont celui de duc d’York, selon un communiqué du palais de Buckingham.

« Après avoir discuté avec le roi et ma famille proche et élargie, nous sommes arrivés à la conclusion que les accusations persistantes à mon encontre détournent l’attention du travail de Sa Majesté et de la famille royale. J’ai décidé, comme je l’ai toujours fait, de donner la priorité à mon devoir envers ma famille et mon pays. Je maintiens ma décision prise il y a cinq ans de me retirer de la vie publique », indique le communiqué. « Avec l’accord de Sa Majesté, nous pensons que je dois maintenant aller plus loin. Je ne porterai donc plus mon titre ni les honneurs qui m’ont été conférés. Comme je l’ai déjà dit, je rejette vigoureusement les accusations portées contre moi. »

Pourquoi cette annonce est-elle faite depuis le palais de Buckingham à Londres ? La réponse est simple. Dans quelques jours, les souvenirs de Virginia Giuffre, retrouvée morte en avril 2025, seront publiés. Le titre original du livre est : « Nobody’s Girl : A Memoir of Surviving Abuse and Fighting for Justice » (La fille de personne : mémoires d’une survivante d’abus et de lutte pour la justice).

L’auteure et victime du scandale d’abus sexuels a déclaré avoir été contrainte à des relations sexuelles par Jeffrey Epstein, exploitant et propriétaire du réseau pédophile, à Andrew Winsor ou quelque autre personne. Elle avait alors 17 ans. Les abus auraient eu lieu dans une maison de Ghislaine Maxwell à Londres, dans une villa de Jeffrey Epstein à New York et dans sa propriété ou île pédophile des Îles Vierges, également connue sous le nom de Little St. James, dans les Caraïbes.

Donald Trump, qui était lui-même considéré comme un ami d’Epstein, a qualifié l’île des pédophiles de cloaque. Trump a demandé à plusieurs reprises aux journalistes d’interroger Andrew Winsor à ce sujet.

Ghislaine Maxwell est actuellement en prison aux États-Unis. Elle était la partenaire commerciale et la compagne de Jeffrey Epstein. Des enfants, des hommes et des femmes y étaient transportés à bord du « Lolita Express », un Boeing 727-100. Des fêtes sexuelles avec des mineurs auraient eu lieu non seulement sur l’île, mais aussi à bord de l’avion appelé « Lolita Express ».

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